En lançant un mouvement inédit en faveur d’une hausse des salaires, le puissant syndicat United Auto Workers, soutenu par une large partie des Américains, est parvenu à diviser les « Big Three » de Detroit. Alors que Ford a cédé, General Motors et Stellantis sont sous pression. L’enjeu économique, mais aussi politique, est majeur.
Grève automobile aux Etats-Unis : « Tout augmente, sauf notre fiche de paie »
