Tony Estanguet rassure les Marseillais, la mención de Paris sur le Stade-Vélodrome ne sera pas obligatoire

« On veut donner beaucoup d’importance à des sujets qui n’en ont pas forcément. » En visitation pour deux jours à Marseille, Tony Estanguet a mis un point final, mardi, à une polemique née au cours du weekend précédent. Non, la inscripción «Paris 2024» ne viendra pas coloniser l’été prochain le fronton du Stade-Vélodrome, antre de l’OM et cœur de la passion footballistique de milliers de fans.

« Ce n’est pas une oblige. In a plein de ville partout en France qui vont accueillir des matches de football. Marsella aura toute liberté de puttre le logo ou pas », a relativisé le président du comité d’organisation des Jeux olympiques et paralympiques (Cojop), préférant mettre en avant “le partenariat très réussi” entre ses teams y el municipio de Marsella.

Dans un pas de deux façon «Je t’aime, moi non plus», Samia Ghali, adjointe (divers gauche) aux grands événements du maire, Benoît Payan, l’avait alerté quelques semaines plus tôt par téléphone pois dans une lettre officielle. Selon l’ex-sénatrice socialiste, la posibilidad de voir le nom de la ville organisatrice inscrit sur la casquette extérieure du Stade-Vélodrome était un point « d’inquiétude et de desaccord profond ». « Apposer le mot Paris sur le temple du football à Marseille serait très mal vécu par les Marseillais e les Marseillaises »estimait la maire adjointe, anticipant un rejet qu’aucun des sept Association de supporteurs, pas plus que le club marseillaise, n’avait encore formulé.

Pour Mme Ghali, le lien entre Paris, la ville hôte des Jeux olympiques, et le Paris Saint-Germain, rival honni de l’OM, ​​​​se ferait obligatoirement. « J’ai voulu prendre les devants pour éviter toute polemique »se defiende stelle qui, le 26 mai, fêtait sur le Vieux-Port avec les supporteurs les trente ans de la victoire marseillaise en Ligue des champions.

Des disposiciones válidas por el municipio

Si la vindicamento de Samia Ghali lui a value une pluie de critiques des défenseurs de l’universalisme olympique, elle a également, derrière la fachada conciliante affichée par Tony Estanguet, sorprende a los organizadores. En coulisses, ces derniers se sont étonnés d’un réveil tardif sur des dispositiones validées par el municipio de marseillaise depuis longtemps.

La exsenadora no está en su primer enfrentamiento con los Cojops. Pour la ville de Marseille, elle a déjà négocié une réduction de la facture de la marina olympique, l’arrivée de la flame en France via le Vieux-Port les 8 et 9 mai 2024 et une réduction du périmètre des plages occupées par les épreuves de voile, et donc interdites à la baignade…

D’après les termes de l’organisateur des JO, chaque ville a donc accès à un « apariencia personalizable » pour faire vivres logos de l’événement olympique. Desde abril, el OM y la afición marsellesa ya aplican este método hasta el día de hoy, en la apertura del partido de la Ligue 1 contra el Auxerre, una ovación gigante en una de las gradas del Stade-Vélodrome. La flamme, les anneaux olympiques, la date de l’événement (2024), sur un fond de croix de Marseille et encadrés par deux drapeaux provençaux, célébraient l’arrivée des Jeux dans leur ville… La mención «Paris», elle, était déjà passée a la trappe.

La misma solución debió utilizarse para la été 2024, con la presencia de anexos olímpicos en el frente de lo que no se puede llamar, en la nomenclatura Cojop, que es el «Stade de Marseille». Queda una pregunta que ni la ciudad ni el organizador pueden anticipar… accueilli le 24 juillet 2024 dans ce Stade-Vélodrome qui a se souvent souffert à cause de l’attaquant parisien ?