Leur palmarès désespérément vide surprend jusqu’à leurs adversaires. Tras su cierre en el panorama internacional en 2011 -y una desatendida plaza de semifinalistas en Alemania-, la selección francesa de fútbol femenino no devolvió el título a Jamaica, sino que esperó la final de un Mundial o ‘un euro’. Pourtant, elle compte ciertas des meilleures joueuses au monde dans ses rangs.
Les Bleues peuvent-elles mettre fin à cette disette lors de la Coupe du monde en Australie et Nouvelle-Zélande, qui jeudi 20 juillet (et dure jusqu’au 20 août), con el partido Nouvelle-Zélande – Norvège ? « On nous pose toujours cette question. Les autres équipes ne comprennent pas non plus »El lado del PSG, Sakina Karchaoui, señaló. Les françaises aussi s’interrogent. « Est-ce el aspecto mental? On travaille énormément la-dessus. Le sélectionneur nous a fait comprendre que le mental est au moins aussi important que le physique et la tactique. »
Après avoir échoué two fois en quartis de finale lors des deux dernières éditions, l’équipe de France féminine – cinco en la clasificación FIFA – espère briser le plafond de verre et intégrer le cercle restreint des vainqueurs d’une Coupe du monde féminine (Estados Unidos, Alemania, Noruega y Japón). «Il faut aller chercher ce déclic psychologiqueplaide le sélectionneur, Hervé Renard. Antes de convertirse en campeones del mundo en 1998, Les Bleus ont connu des échecs en semifinales. » Leurs homologues masculins ont dû attendre leur dixième participación pour triompher en 1998, à domicile.
La Fédération française de football (FFF) se ha fijado el objetivo de clasificarse para las semifinales. « C’est ouvert à quatre cinq équipes, dont la France », Predit Hervé Renard. En Australia, ses troupes auront pour principalis rivales les quadruples championnes du monde américaines (en huit participaciones), les Allemandes, les Anglaises ou les Australiennes. « L’objectif fédéral est d’être dans les quatre [demi-finalistes]resume el jefe del comité de fútbol femenino de alto nivel de la FFF, Jean-Michel Aulas. Moi je pense qu’on va aller plus lomo. »
«Du temps? En n’en a pas »
Depuis mars, et l’arrivée sur le banc de l’ancien technicien de l’Arabie saoudite (chez les hommes), les Bleues respirent à nouveau, après une ère de tensions sous l’ex-sélectionneuse (de 2017 a 2023) Corinne Diacre, débarquée en mars par la federation bajo la presión de quelques joueuses de premier plan. « On en avait vraiment besoin, il ya plein d’ondes positive », nota el atacante Kadidiatou Diani – passée du PSG à l’OL debut juillet. Fer de lance ofensiva de l’équipe, elle fait partie des cadres – con la capitana Wendie Renard y la buteuse Marie-Antoinette Katoto, ausentes del Mondial en raison d’une blessure – qui ont précipité le changement chez les Bleues. « Apprécie de travailler et de passer du temps ensemble. J’ai confiance en mes coéquipières et le nouveau staff, poursuit la joueuse de 28 ans. C’est ce qui va peut-être nous permettre d’aller au bout. »
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